mardi 15 septembre 2009

L'Etat belge JUNKIE se jette sur les économies des gens prévoyants

Ca y est *FÊTE*:
Ceux qui n'auront pas de pension suffisante suite à la gestion désastreuse de l'Etat belgese sont tourné vers une épargne additionnel afin de prévoir pour leur famille et de completer leur maigre pension.

Le gouvernement Junkie Belge vient de repérer le magot et se jette dessus. Apparement, il n'y a plus assez d'argent pour créer des intercommunales de potes au PS.


Les pensions extra-légales taxées chaque année?

Des dizaines de milliards d'euros épargnés en vue de la pension sont actuellement gérés par les institutions financières. Une manne colossale qui, en ces temps de disette budgétaire, se rappelle au bon souvenir des autorités belges à la recherche de nouvelles recettes!

Bruxelles (L'Echo) - Les pensions extra-légales, financées en entreprise ou à titre individuel (les fameux 870 euros déductibles chaque année), ont pour point commun d'être taxées… en fin de contrat. À l'âge de 60 ans, à des taux de 10 et/ou 16,5 %. L'idée sur la table des autorités «parmi d'autres», confirme-t-on aux Finances, est de taxer ces différentes pensions extra-légales chaque année plutôt que d'un bloc en fin de contrat.

La mesure est toujours en discussions. Et pour cause: si pour l'épargnant, la mesure serait indolore, pour le secteur financier, cela aurait un impact important sur leurs bilans, leurs niveaux de provisions techniques. Sans compter la logistique… «Touchy», comme on dit.

Pourtant, pareille mesure permettrait d'alimenter chaque année les caisses de l'État de plusieurs centaines de millions d'euros. Rien qu'en assurance de groupe, les provisions techniques entendez les engagements à tenir- avoisinent les 40 milliards d'euros. On imagine aisément qu'une fraction de la taxe de 10 ou 16,5 % prélevée de manière fractionnée et anticipée sur cette manne chaque année serait d'un grand secours pour le budget de l'État.

Sur le principe, si les discussions d'une taxation annuelle sont avancées le secteur financier a été mis au courant des intentions gouvernementales -, sur la manière de taxer, le flou règne encore en maître. Va-t-on abaisser la déductibilité des primes versées dans ces «épargnes-pensions»? Actuellement, elle oscille de 30 à 40 %. Sera-t-elle ramenée à une fourchette de 25 à 35 %, ou de 20 à 30 % des primes versées? Les calculettes doivent chauffer…

F. M.


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